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Chapitre 18 - Le dernier refuge

 
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Stronghold French Heaven Index du Forum -> Stronghold -> Maps -> Chroniques de l'Empire de Barbarius, Acte I
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Barbarius
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MessagePosté le: 2009-01-17, 12:06    Sujet du message: Chapitre 18 - Le dernier refuge Répondre en citant



Chapitre 18
Le dernier refuge




Taille : 160*160
Genre : Défense
Difficulté : Facile


Stratégie

L'espace de développement est relativement restreint ici, ainsi que vos moyens de développement, et de défense. Avec les faibles moyens offerts, tâchez de repousser les assauts ennemis en utilisant à la fois vos fantassins, mais aussi vos pièges.

Conseils

  • Une trop forte population rendra impossible d'obtenir de la nourriture
  • Le bois et les biches ne sont pas en quantité infinie ! Assurez-vous de ne pas avoir une trop forte production qui viderait la map
  • Les pièges seront le meilleur moyen de défense
  • Vous ne pourrez pas repousser le dernier assaut avec les troupes et les pièges. Seule une aide extérieure pourra vous aider


Résumé

La guerre que connait en ce moment Elméria comprend deux fronts. D'un côté, nous avons Yzma, où la Julnius est en train de perdre progressivement la bataille. De l'autre, Boüschko, où les troupes fyriennes se rassemblent pour triompher de la défense elmérienne. Barbarius, après avoir réussi à marquer quelques points, a finalement été capturé par les Fyriens, dirigés par Vaudecour. L'issue de la bataille est incertaine. A Wyzima, Gribouil, qui poursuit son enquête, a compris que Boucanier n'avait rien à voir là-dedans. Il ne lui reste plus qu'à exploiter la piste politique.

Scénario

Maintenant que la situation à Yzma, depuis le quadruple siège de Malbraund (cf. chapitre 17) est sécurisée, il convient de retourner à l'autre aspect de cette guerre, moins puissant, certes, mais, dans le fond, tout aussi important. En effet, après leur défaite à Yzma, il est probable que les Julniens se concentreront désormais sur la Passe de Boüschko, qui est le cœur d'une lutte infernale entre Barbarius et le Comte Vaudecour. Aux dernières nouvelles, après un siège puissant mais raté du Comte pour prendre la Passe (cf. chapitre 14), Barbarius avait contre-attaqué, s'emparant d'un puissant fort fyrien, l'utilisant pour repousser les forces fyriennes (cf. chapitre 15). Vaudecour avait fini par constater que Barbarius était solidement implanté, ce qui permettait entre-temps aux Elmériens de recevoir des renforts pour consolider la défense de la Passe. C'était inacceptable pour Vautecour. Il lança un ultime siège sur son fort, bien décidé cette fois à en finir avec ce maudit Barbarius, réquisitionnant toutes ses troupes.

Tandis que Malbraund défendait à cette période Yzma (cf. chapitre 16), Vaudecour, lui, envoyait ses multiples armes de siège et troupes sur son ancien fort. Il sera profondément rasé, mettant fin à la résistance ennemie. Ce sera un véritable massacre pour les Elmériens. Beaucoup seront tués, et, finalement, Barbarius sera capturé, Vaudecour se réservant l'honneur de le tuer en personne. Quelques soldats s'enfuiront à travers la montagne, traqués par quelques hommes de Vaudecour. Ce dernier, apprenant la bonne nouvelle, ordonna qu'on amène immédiatement son adversaire dans son fort principal, situé au bout de Boüschko. Barbarius fut traîné dans d'humides cachots, une prison sordide en bois bâtie à côté du Donjon. Plusieurs jours après sa capture, il reçut la visite de Vaudecour.

COMTE DE VAUDECOUR - Il semblerait finalement que vous ayez perdu cette bataille...
BARBARIUS - Je n'interprète pas cela comme un jeu entre vous et moi.
COMTE DE VAUDECOUR - Vous devriez, pourtant. Tout cela était d'un amusant... Je ne m'attendais honnêtement pas à rencontrer si vite une telle résistance ! Je pensais que tous les stratèges de talents avaient été réquisitionnés pour Yzma ! Visiblement, je me trompais... Votre ténacité vous fait honneur. Vous avez retardé de plusieurs mois mon offensive, permettant ainsi aux Elmériens de réunir suffisamment d'hommes pour triompher des Julniens à Yzma. C'est une catastrophe, oui, mais ma récente victoire pourrait tourner ce désastre apparent en triomphe. Les Elmériens seront distraits par leur victoire à Yzma. C'est alors que je frapperai rapidement. Il n'y a plus beaucoup de garnisons maintenant, à l'arrière-pays. Kaer Morhen est un fort vide, et, après, il n'y a que des garnisons de second niveau, des faibles qui n'ont de soldats que le nom ! Les vaincre sera d'une grande facilité, vous pouvez me croire. En agissant vite, je pourrais déstabiliser l'ennemi. Les Elmériens devront abandonner Yzma en grande partie pour se replier et tenter de refermer Boüschko. Les Julniens et leurs alliés n'auront plus qu'à lancer une offensive générale !
BARBARIUS - Leurs... alliés ? Je croyais que la Julnius n'avait que vous comme soutien...
COMTE DE VAUDECOUR - C'est que vous ne vous tenez pas au courant, mon cher. La situation a... évolué. L'Hilvanie a jugé plus judicieuse d'envoyer quelques garnisons soutenir les Fyriens, tandis que les Lulbériens ont décidé d'agir. Officiellement, il s'agit de "soutenir une frappe hilvanienne en représailles aux Baronnies d'Elmeria", représailles liées à la guerre contre l'Hilvanie, bien entendu.
BARBARIUS - D'après ce que je sais, les Lulbériens avaient aussi affronté l'Hilvanie, non ?
COMTE DE VAUDECOUR - Les intérêts évoluent avec le temps. En réalité, nous ignorons ce que veulent les Lulbériens, mais, vu le peu d'hommes qu'ils ont envoyé dans la bataille, cela ne nous pose pas de problèmes. Je pense qu'ils veulent leur part du gâteau pour relancer l'économie de leur pays. De notre côté, les Fyriens attaquent pour mettre fin à l'hérésie de la Philosophie d'Hebraun, et, accessoirement, pour s'enrichir.
BARBARIUS - Génial ! Tout ces morts pour quelques hérétiques et une religion qui ne dirige dorénavant plus le royaume d'Elméria ! Honnêtement, quel est votre but ? Espérer qu'en faisant le sale boulot à leur place, l'Hilvanie réduira la Dîme ? Vous n'avez toujours pas compris que l'Hilvanie se soucie pas mal de vos intérêts. Il n'y a que les Julniens qui s'aveuglent en croyant les promesses du Maréchal Longarm, qui leur promet une aide militaire si jamais le sol de la Julnius devait être menacé. Croyez-moi, je suis Hilvanien, je connais la philosophie des gens du pays... Vous devriez concentrer vos forces sur l'Hilvanie plutôt que de jouer le jeu de l'Hilvanie en vous divisant avec les autres...

Vaudecour frappa avec sa main gantée une joue du captif, le couchant au sol.

COMTE DE VAUDECOUR - Il suffit ! Ce n'est pas à moi de discuter les très sages décisions de l'Eglise ! Vous avez bien vu ce qu'a dominé notre précédente guerre, non ? L'armée hilvanienne nous avait balayée. Il n'y a pas d'autres solutions, vous comprenez ? Il faut être avec l'Hilvanie, ou périr sous ses troupes !
BARBARIUS - L'Hilvanie n'est pas aussi unifiée et puissante que vous le croyez !
COMTE DE VAUDECOUR - C'est ce que nous pensions à Kaer Morhen...
BARBARIUS - Écoutez...
COMTE DE VAUDECOUR - Non ! Je vous ai assez entendus comme ça ! Il va être temps de lancer ma grande offensive. Mes objectifs ont changé, maintenant. Il s'agissait auparavant d'une simple guérilla. Dorénavant, je compte marcher sur Wyzima, et incendier cette arrogante cité ! La Chancellerie tombera, et ce sera la fin des Baronnies. L'Eglise me canonisera peut-être pour cela. Ce serait... formidable !
BARBARIUS - Arrêtez de rêver...
COMTE DE VAUDECOUR - Je crois que nous allons en finir ici... Demain, vous serez pendus dès la première heure. Profitez bien de votre dernière nuit en ce bas-monde.
BARBARIUS - Vous ne pensez pas que vous feriez une erreur en éliminant un stratège aussi doué que moi ?

Vaudecour s'arrêta sur le pas de la porte, et sembla réfléchir quelques instants.

COMTE DE VAUDECOUR - N'y voyez surtout rien de personnel, mais ce n'est qu'une question de fierté.

La nuit tomba assez rapidement. S'il avait eu un peu plus de temps, Barbarius aurait peut-être pu faire un trou dans le mur en cassant le bois, mais, en une nuit, c'était peine perdue. Il se mit donc à s'asseoir sur le sol, observant depuis une petite lucarne les étoiles dans le ciel endormi. Il se mit à penser à tout ce qu'il avait fait, et à tout ce qu'il avait gâché. Était-ce une erreur de suivre Gribouil et Malbraund en ces lieux ? Cette bataille ne le concernait pas. Tout ce qu'il voulait, c'était retrouver sa femme. Mais était-ce une fin en soi de la retrouver ? Il n'avait jamais envisagé ce qu'il pouvait faire après... Il avait du, quand il avait quitté l'Hilvanie pour l'Ilnia, se dire qu'il reprendrait le domaine familial, pour une petite vie sans histoire. Apparemment, son objectif de départ ne pourrait jamais être accompli. Tout ce qu'il souhaitait, maintenant, c'était revenir à Tulmenia, mais il était engagé dans une guerre entre la Fyrie, la Julnius, Elméria, et maintenant l'Hilvanie et la Lulbérie, une guerre qui ne le concernait pas. Si jamais il avait l'occasion de s'en sortir vivant, il se disait qu'il abandonnerait à leur sort Malbraund et Gribouil, pour fuir vers l'Ilnia, abandonner cette histoire sans fin. La lutte entre la Fyrie et les Baronnies remontait à des décennies, mais ne pourrait être tranchée que quand l'un des deux camps triompherait sur l'autre. Après tout, les Baronnies d'Elmeria valaient-t-elles mieux que la Fyrie ? Chacun luttait pour ses propres intérêts, en poursuivant des querelles vieilles de plusieurs générations. Cette guerre n'avait pas de sens. Logiquement, Barbarius ne devrait pas y participer. Reconstruire l'Ilnia, dévastée après la tyrannie de Crow, était beaucoup plus sérieux.

Oui, mais voilà, ce n'était qu'une question de fierté. Il avait risqué sa vie à Boüschko, risqué son existence contre Vaudecour... Et il avait perdu. Il avait sous-estimé son adversaire. Plutôt que de se replier après avoir triomphé des forces fyriennes, il avait préféré consolider sa position. Vaudecour en avait profité pour organiser un siège surpuissant. Barbarius ne l'aurait jamais cru capable de démolir son propre fort. Vaudecour n'avait pas mésestimé son adversaire, au contraire de ce dernier. La situation était maintenant dramatique, et Barbarius espérait que les hommes qui avaient survécu le sauveraient, comme ce fut jadis le cas quand Crow le vendit aux Julniens (cf. chapitre 08). Mais il n'était pas un Elmérien. La stratégie de base consistait à se replier, sans doute pour prévenir les troupes arrières qu'une immense armée allait venir sur eux. S'infiltrer au centre des territoires ennemis pour sauver un Seigneur étranger qui avait envoyé à la mort des dizaines et des dizaines de combattants elmériens était une pure folie. Barbarius lui-même ne le ferait pas s'il était à la place des rescapés. Il fallait de plus supposer que les forces de Vaudecour n'avaient pas massacré ces derniers.

BARBARIUS - Je dois avoir le don de me fourrer dans des situations inextricables...

Notre homme regarda par la fenêtre la cour animée du château. Les soldats festoyaient, sûrs de leur prochaine victoire contre les Baronnies. Plusieurs feux de camps avaient été dressés, et la bière coulait à flots. Il fallait au moins reconnaitre que le plan de Vaudecour était crédible, et avait toutes les chances de fonctionner. En tout cas, il porterait un sérieux coup au moral des Elmériens, et pourrait diviser leur armée. Il y aurait du coup deux fronts à défendre, mais un front éloigné, extrêmement proche de Wyzima par rapport à Yzma. Il fallait faire quelque chose, mais quoi ?

Ils vinrent le chercher à l'aurore. Sans trop savoir comment, Barbarius avait fini par s'endormir sur ce sol crasseux. Sans aucune pendre d'amabilité, ils le traînèrent dehors. Il fut surpris de ne pas voir de pendaison. Visiblement, le lieu de son exécution n'était pas ici. Tant mieux, ça lui laisserait le temps de pleinement se réveiller. Il fut jeté dans l'herbe, roulant au sol sous les rires des soldats. Finalement, l'homme se releva, misérable et couvert de crasse. Dressé sur son cheval, Vaudecour le regardait de loin.

SOLDAT - Allez, maintenant, avance !

Barbarius obéit sans broncher, traversant une petite forêt qui l'amena sur une colline dégagée. C'est là que se dressait la potence. C'était une exécution publique. Vaudecour ne voulait pas se contenter de le tuer dans son château, il voulait aussi s'assurer que le peuple fyrien puisse y assister. Les habitants des villages locaux étaient en effet venus. On ne devait pas avoir l'habitude des pendaisons ici. Barbarius s'arrêta devant la pendaison. Il n'était pas trop sûr d'avoir envie de monter. Il se retourna pour parler, mais un soldat réagit promptement, lui plantant le bout en bois de sa pique dans le ventre, avant de lui asséner un violent coup de poing en pleine figure qui eut pour effet de l'envoyer à nouveau s'étaler sur le sol.

COMTE DE VAUDECOUR - Votre route est finie, mon ami. Acceptez la mort aussi dignement que vous le pouvez, et divertissez ces gens. Il n'y a guère d'attraction à Boüschko, vous savez.

Barbarius se releva lentement, et finit poussé sur les marches, avant que deux soldats ne le soulèvent par les épaules pour l'adosser contre le poteau. La vision trouble, Barbarius sentit la corde se poser au milieu de son cou. Son cœur s'emballa. Mourir n'était décidément pas une expérience agréable.

BARBARIUS - Vaudecour ! Vous avez eu le temps de réfléchir à ma proposition ? Ne croyez-vous pas qu'il serait temps d'oublier nos petits différends pour... ?
COMTE DE VAUDECOUR - Allons ! Mon peuple veut votre mort ! Regardez leur visage passionné et attentif. Ils ne souhaitent qu'une chose : c'est vous voir vous tortiller pour retirer le nœud qui sera autour de votre gorge tandis que votre visage prendra une teinte violacée. Ce sera une chose qu'ils pourront raconter à leurs petits-enfants pendant des années.
BARBARIUS - Vous faites une...
SOLDAT - Maintenant, tais-toi !

Nouveau coup de pique dans le ventre, mais, cette fois, l'homme ne chuta pas, retenu par la corde. Barbarius en profita pour une manœuvre désespérée, attrapant sa main le bout de la pique, frappant du pied l'estomac du garde, qui tomba au sol. L'autre garde lui envoya son menton sur sa figure. La tête de Barbarius ricocha contre le poteau, et il lâcha la pique. Dès lors, on lui ligota les mains. Il ne restait plus qu'à attendre le bourreau, qui, lentement, venait vers lui. Il monta les marches, ordonnant aux gardes de s'éloigner de l'estrade.

BARBARIUS - Dites... Si vous m'aidez à m'en sortir, je vous paierai bien mieux que Vaudecour...

Le bourreau sembla le regarder, avant de partir d'un grand éclat de rire.

COMTE DE VAUDECOUR - On nous a assez faits attendre ! Finissons-en !

Le bourreau posa la main sur le levier permettant d'ouvrir la trappe... et le poussa. Le sol se déroba sous les pieds de Barbarius, et l'air disparut instantanément. Avec son couteau, le bourreau coupa les liens reliant les mains de Barbarius, qui, comme Vaudecour l'avait espéré, tenta instinctivement de desserrer la corde le tuant lentement.

PAYSAN - Au secours !! Au secours !!
COMTE DE VAUDECOUR - Que signifie ceci ?

Accourant depuis un village, un paysan épuisé tomba au sol en voulant gravir la colline.

COMTE DE VAUDECOUR - Qui ose me déranger ainsi ?! Bourreau ! Remets la trappe ! Je ne veux pas manquer un morceau de cette exécution !

Le bourreau obtempéra sans broncher, ramenant le levier vers lui. Barbarius put à nouveau respirer, et constata qu'il avait non seulement sué, mais aussi uriné. Il n'aurait pas voulu que ses hommes soient là pour le regarder. C'était vraiment pitoyable. Vaudecour grogna, en regardant le paysan éreinté.

PAYSAN - Les bri... Les brigands ! Ils ont attaqué les récoltes et le village pendant que la garde assistait à l'exécution !
COMTE DE VAUDECOUR - Quoi ?! Misérables pourritures...

Boüschko comportait son lot de brigands et de déserteurs. Il n'était pas étonnant que des brigands attaquent. C'était courant, même. Ils se terraient dans les grottes et les cavernes des montagnes, ou en pleine forêt, ce qui rendait très difficile de les chasser. Contrairement à ce qu'on pouvait dire, Boüschko était loin d'être un petit paradis tranquille. Il fallait aussi compter sur les meutes de loups vivant dans la région. Vaudecour regarda son captif, puis le paysan, et ordonna à ses soldats de partir sur-le-champ. Les paysans, terrorisés, étaient déjà partis vers le village. Une attitude peu compréhensible. Ils n'avaient pas d'armes, mais voulaient sûrement protéger leurs biens.

COMTE DE VAUDECOUR - Qu'on en finisse !
BARBARIUS - Vous devriez vraiment songer à ma proposition !
COMTE DE VAUDECOUR - Mais tuez-le, bon sang !!

Le bourreau posa sa grosse patte sur le levier, quand la main de Barbarius agit. Le levier était très proche du poteau, et le bourreau avait oublié qu'il avait libéré les mains de l'homme. Il attrapa le pan de la veste du bourreau, tentant de le renverser, mais le bourreau se libéra vite, et éclata de rire. Barbarius était trop épuisé, et cet homme était une véritable masse, un colosse de graisse. C'est un bélier qu'il faudrait pour le renverser. Le bourreau le frappa à la joue, avant de passer à nouveau la main sur le levier.

COMTE DE VAUDECOUR - Ce n'est pourtant pas si difficile de pousser un levier !

Le bourreau poussa soudain un hurlement de douleur, mêlé à une vive surprise, tandis que du sang éclaboussa le visage du prisonnier. Le bourreau hurla encore un peu avant de tomber lourdement au sol, une hache plantée dans le bide. Surgissant de la forêt, plusieurs archers débarquèrent, visant Vaudecour, qui choisit de se replier au plus vite.

ARCHER -#1 C'est une chance que les brigands aient attaqué !
ARCHER #2 - Nous avons besoin de vous pour survivre, et revenir à Wyzima !

Les survivants elmériens !

BARBARIUS - Hebraun soit loué...

Barbarius tomba dans l'inconscience.

Il émergea douloureusement de ce sommeil lourd. Sa tête lui faisait atrocement mal, et il avait... soif. Il aperçut ses sauveurs, en train de discuter, préoccupés, autour d'un feu de camp dans une grotte. Dehor,s c'était la nuit noire, et un vent glacial secouait Boüschko. L'hiver approchait.

ARCHER #1 - Notre situation est dramatique !
ARCHER #2 - Les loups sont partout. Là encore, je les entends grogner.
BARBARIUS - Aaach... Nous avons survécu à.... Fyriens. Les loups ne nous poseront pas de problèmes...
ARCHER #2 - Oh, vous êtes réveillés ??
BARBARIUS - Ça pourrait aller mieux, oui, mais l'essentiel est d'être debout... Ou plutôt conscient, en l'occurrence. Quelle est notre situation ?
ARCHER #1 - Vaudecour nous traque !
ARCHER #2 - Nous devons rejoindre un petit refuge sur une colline, mais avec tous ces loups...
BARBARIUS - S'aventurer dans la nuit risque d'être dangereux. En revanche, si jamais notre feu s'éteint, les loups viendront nous dévorer. Il nous faut des torches, et organiser une sortie !
ARCHER #1 - Oui, c'est ce que nous faisions avant, mais nous ne savons pas si vous pourrez...
BARBARIUS -Je peux parfaitement ! J'ai traversé à pied les montagnes séparant l'Hilvanie de l'Ilnia, bonhomme !

Avec quelques difficultés, Barbarius parvint à se lever. Il attrapa un bout de bois, et en brûla l'extrémité.

ARCHER #1 - Bon, alors, j'ouvrirai la marche... Dans le refuge, nous serons à l'abri.

L'homme sortit de la grotte, suivi par ses comparses, ainsi que par leur Seigneur déchu. Ils avancèrent rapidement entre les arbres, les bosses sur le sol, les cailloux, traversant de petites rivières, quand ils entendirent les loups hurler dans la nuit.

ARCHER #1 - Plus vite !

Les grognements s'intensifièrent. Barbarius tourna la tête. A droite comme à gauche, on ne voyait rien. Ils pouvaient être partout. Le lancier fermant la marche vit soudain deux yeux argentés sur sa droite, et poussa un hurlement quand un loup bondit à sa gorge. Le hurlement se tut vite, et quatre loups rejoignirent le premier.

BARBARIUS - Courez !!
ARCHER #2 - Le foyer est droit devant !!

Les hommes s'élancèrent rapidement, passant entre deux monts rocheux, dévalant une longue descente. On voyait au loin un petit fort en bois, quand Barbarius se prit une racine sortant du sol, lâchant sa torche, et tombant à la renverse, se reçevant contre un arbre. Un loup arrivait droit devant lui, gueule grande ouverte. l'homme porta la main à son ceinturo, tentant d'en extirper son couteau. Le loup bondit devant lui, quand une flèche le frappa dans le ventre, le clouant au sol.

ARCHER #3 - Dépêchez-vous, bon sang !

Barbarius devait être protégé par Hebraun... Il se releva, et tenta de courir, pour constater qu'ils 'était foulé la cheville. Derrière, d'autres loups approchaient. Les archers bandèrent leurs arcs, et tirèrent.

BARBARIUS - C'est pas possible...
LANCIER #1 - Aidons-le !
LANCIER #2 - Il faut le porter !

Les loups continuaient à affluer. C'était toute une meute qui avait du sentir la chair fraiche, différente de celles des daims. Les archers en tuèrent trois autres, mais un loup renversa un archer, s'apprêtant à planter ses crocs dans un ventre qui n'attendait que lui. Une lance se planta soudain dans son dos. L'archer n'eut pas le temps de remercier le lancier que deux loups bondissaient sur l'opportun sauveur, l'envoyant bouler à la renverse dans des éclaboussements rougeâtres le long de la colline. Les loups arrivaient maintenant par dizaine. Plusieurs autres lanciers, ceux en tête, surgirent, brandissant les torches. Les loups, effrayés par les flammes, reculèrent, et durent s'enfuir sous les tirs des archers.

ARCHER #2 - Ils reviendront vite !
BARBARIUS - C'est sans espoir...

La nuit se passa avec tension dans le Donjon, mais les loups ne revinrent pas. Pas tout de suite, du moins... Barbarius ignorait toutefois où il se trouvait, et Vaudecour ne tarderait pas à le retrouver. La situation était catastrophique. Il n'y avait plus qu'à se retrancher, et à attendre l'arrivée des forces de Vaudecour. Impossible de fuir sans tomber sur les loups. Aucune échappatoire possible, Boüschko serait son tombeau.


Notes de l'auteur


J'avais hésité au moment de la réalisation de cette map. Devais-je faire une bataille intermédiaire entre Yzma et Kaer Morhen, ou bien directement passer à Kaer Morhen ? Finalement, il m'est revenu à l'esprit une excellente map de Stronghold Heaven, où le Joueur se trouvait sur une colline, devant repousser avec les maigres troupes et moyens disponibles les multiples ennemis. Je me suis totalement inspiré de cette map, Land of Stirn 06 - Mountain Fort, de Lord Ravenclaw, tant pour le design que pour le principe. Je ne pense toutefois pas avoir réussi, avec mes maigres connaissances, à faire une map aussi jolie que la sienne, mais je ne pense pas non plus avoir fait un désastre.

Encore une fois, j'ai été bloqué par les limites de l'Editeur pour le dernier assaut. J'aurais voulu envoyer toute une armée soutenir le Joueur, armée hétéroclite composée de diverses troupes. Mais les seuls renforts disponibles dans le jeu sont les archers, alors j'ai du faire avec. Mon Bêta-test s'avéra assez positif, même si j'ai du rectifier plusieurs choses, notamment en offrant plus de ressources au Joueur, le bois et les biches disparaissant vite. Il aura fallu apporter un peu plus d'invasions pour dynamiser la partie. Je pense vraiment qu'ici, l'utilisation des pièges est le seul moyen de remporter la bataille. Produire de l'or est extrêmement difficile, vu les maigres ressources disponibles.

Au sujet du scénario, il n'apporte rien en soi à l'intrigue principale ou à l'énigme de la Tour Noire, mais je le trouve intéressant. Je me suis plus ou moins inspiré de La Route du Désert, où certains scénarios des escarmouches se résumaient à des fuites entre le personnage principal et ses innombrables ennemis.


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Le Barbarius est a Stronghold, ce que la Lune est à la terre (Gribouil)

Barbarius est le soleil qui brûle ses ennemis (Sire Gob le puissant)

I knell before you Barbarius. Strategy of a genius and survival instinct of the kings of beasts. I do not know from only the images how you managed but... you are the greatest Stronghold player ever to live. (newdexterfan)

Bref je suis émerveillé devant ton talent, déjà que t'avais solutionné la piste du croisé et de warchest, et tu continues avec Stronghold 1 (Rockcity)

On ne peut avoir meilleur tuteur que Barbarius!! (Darthsuprême)

Tu es le Chuck Norris de Stronghold ! (Mickions)

La victoire est toujours assurée avec Barbarius ! (Ordi)

Je m'en souviens pas très bien mais j'avais a peu près 40 baliste les archers montés et les assassins, et lui 29 archers (un moment au début de la partie) moi presque 5000 et lui 200, mais il s'en est sorti quand même, tu m'as vraiment impressionné encore une fois (Shamila)

Tu enchaines les victoires et tu ne te prends pas pour le roi du monde. Peu de gens en sont capables. J'espère un jour réussir a être a ta hauteur. (Sir Matthew Steel)


Dernière édition par Barbarius le 2010-03-24, 16:40; édité 3 fois
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Gryfon
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MessagePosté le: 2009-01-18, 15:26    Sujet du message: Chapitre 18 - Le dernier refuge Répondre en citant

Ton mapping s'améliore grandement !!!!! 
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"Tu reste toujours l’un des meilleurs mappeurs de SfH. Ton niveau en mapping est très haut" Tommy

"Que dire? On reconnaît Gryfon le maitre. Un design quasi irréprochable digne des plus grands mappeurs. " Mickions

"Gryfon est un excellent graphiste et un excellent ami, que demander de plus à part qu'il soit suisse? "Nils

"Le renommé Gryfon s'améliore de jour en jour!"Killfr"

"De l'extérieur, tu n'as l'air de rien, mais c'est dans tes murailles que tout se joue !
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"Franchement ! ton design ma épaté !" Garilis

"une nouvelle map de Gryfon est un grand moment, un peu comme on attend sur Stronghold Heaven les maps de Warlord_Designs"Barbarius

"Ton art c'est comme la cuisine, faut être un chef pour le réussir"Seigneur Iro

"La patte de l'artiste est à l'œuvre, et je trouve, sans exagérer, que ton niveau en mapmaking équivaut celui des "grands" de Stronghold Heaven, comme Sulis, ou encore Az-Vitrazhas."Barbarius

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"Encore une très bonne carte de gryfon ce satanée piaf ! Bien joué Design man :p"Garilis










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MessagePosté le: 2009-01-18, 16:08    Sujet du message: Chapitre 18 - Le dernier refuge Répondre en citant

Merci Mr. Green Enfin, là, j'avais un modèle Wink
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MessagePosté le: 2009-01-18, 17:26    Sujet du message: Chapitre 18 - Le dernier refuge Répondre en citant

Lol ^^ Du mapping ce n'est pas un art, c'est de la logique je dit. Sinon pour le scénario, on approche de la fin de l'Acte I je suppose, vers la 20ème probablement.
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Cordialement, Sir Labreck, Ancien Seigneur Templier, Théoricien chevronné et expérimenté de Crusader, fan de Starcraft 2

Nouvelle citation 09/01/10

C'est le jour où j'ai compris à quoi servait un grenier que j'ai vraiment commencé à m'améliorer. L'or est un multiplicateur de production et non une ressource qui doit être entassé dans un grenier. N'importe quel joueur devrait connaître et comprendre les fondement d'un jeu avant de lancer même dans la plus petit stratégie. Inonde moi de tes connaissances pour que je t’ensevelissent des miennes. Cancerius, le joueur français qui a repoussé les limites de Crusader s'adressant à Goku.

Tous doivent se réveiller du rêve, nous n'avons pas peur de la mort. Philosophie Aiel, où la vie est un rêve, peuple du monde: The Wheel of Time

Firefly est pour sûr doué dans quelque chose, nous fournir des jeux au gameplay profond et complexe, avec une série de bug tous délirant et amusant. Moi même

On est tous des mongols, François Pérusse

Les croisades, un épic récit de bravoure, de courage, de triomphe et de défaite, de chevaliers, mais surtout d'idiotie...

Vous croyez en l'homme, je crois seulement en la capacité d'aimer de l'homme, cette même capacité qui crée la jalousie, la haine et la destruction, c'est donc dire que je crois en la capacité qu'a l'homme de détruire, ou tout au moins, de se détruire. Moi même

Barbarius défend le Néant, Le Néant est le Néant, soit le vide, inexistante, il défend rien, sa cause est donc inexistante et perdu d'avance, plus loin, il est lui même rien, et l'Impôt ne peut-être payé car il n'y a personne pour le percevoir. Ai-je besoin d'élaborer? Moi même

Une merveille avec Barbarius, c'est qu'il est capable de défendre l'indéfendable et d'y croire, si je viens en France, c'est mon avocat à coup sûr! Moi même

La mort est plus légère qu'une plume et le devoir plus lourd qu'une montagne, Robert Jordan, The Wheel of Times

L'Univers est régis par une série de lois fondamentale, si un phénomène nous échappe, nous remettons en cause notre propre connaissance des lois de l'univers, et non en présumant l'existence d'être divin qui interférerait dans notre vie. Christopher Paonlini, Inheritance, Tome 2

L'amour c'est un rêve, utopique, mais il nous fait survivre. Moi même

Si on vous frappe sur la joue droite, présentez la joue gauche, et si on vous frappe sur la joue gauche, présentez votre cousin dans les Hells Angels, François Pérusse

Rien ne se crée, rien ne se perd, tout ce transforme, alors comment l'Univers existe? Moi même

Écrire est une façon de parler sans être interrompu. Inconnus

La démocratie est la pire forme de gouvernement, à l'exception de toutes les autres, Churchill

Arrêter d'accuser le capitalisme, de toute l'histoire ce fut le seul système économique viable, le responsable est le libéralisme et les gouvernements. Moi même

Le seul regret que l'on peut avoir, n'avoir qu'une vie à donner à sa patrie. Moi même

Mourir pour soi hier, c'est un vice, mourir pour sa patrie aujourd'hui c'est un exemple, mourir demain pour dieu, c'est utopique, Moi même

L'électricité sera si bon marché que seul les riches s'éclaireront encore a la bougie. Inconnus

Si la musique nourrit l'amour, alors jouez, Shakespeare.

Vous feriez avancé contre vent et marée un bateau en allumant un brasier sous le pont! Je n'ai pas de temps à perdre avec de telle ineptie. Napoléon de Bonaparte 1er parlant du moteur à vapeur.

À chaque action correspond une réaction égal. Sir Issack Newton

L'être humain crois en dieux car la nature en empreigne la notion partout. Inconnus

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MessagePosté le: 2009-01-18, 18:30    Sujet du message: Chapitre 18 - Le dernier refuge Répondre en citant

Plutôt la 25ème
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Le Barbarius est a Stronghold, ce que la Lune est à la terre (Gribouil)

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I knell before you Barbarius. Strategy of a genius and survival instinct of the kings of beasts. I do not know from only the images how you managed but... you are the greatest Stronghold player ever to live. (newdexterfan)

Bref je suis émerveillé devant ton talent, déjà que t'avais solutionné la piste du croisé et de warchest, et tu continues avec Stronghold 1 (Rockcity)

On ne peut avoir meilleur tuteur que Barbarius!! (Darthsuprême)

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Je m'en souviens pas très bien mais j'avais a peu près 40 baliste les archers montés et les assassins, et lui 29 archers (un moment au début de la partie) moi presque 5000 et lui 200, mais il s'en est sorti quand même, tu m'as vraiment impressionné encore une fois (Shamila)

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MessagePosté le: 2009-01-18, 20:09    Sujet du message: Chapitre 18 - Le dernier refuge Répondre en citant

Tu veux vraiment éternisé hen?
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MessagePosté le: 2009-01-18, 20:23    Sujet du message: Chapitre 18 - Le dernier refuge Répondre en citant

Il ne faut jamais trop se précipiter Cool
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MessagePosté le: 2009-01-31, 19:08    Sujet du message: Chapitre 18 - Le dernier refuge Répondre en citant

Map téléchargé. Map essayer......bientôt Content
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MessagePosté le: 2009-02-01, 14:44    Sujet du message: Chapitre 18 - Le dernier refuge Répondre en citant

Robin, y a juste une chose que je comprend pas a`ta logique de test, t'as 2 test déjà fait, et ce n'est même pas les deux premières, qu'est-ce que ça te donne de tester les dernières? De 1 tu peux mal juger le scénario (bon ici ça compte pas vraiment ^^), moins bien juger l'évolution du design, la créativité aussi peu avoir quelques difficulté.

Bref, si tu veux tester, pourquoi ne fait tu pas comme tout le monde, les unes après les autres? Je trouve juste ça bizarre, bref, fais comme tu veux.
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MessagePosté le: 2009-09-07, 21:17    Sujet du message: Chapitre 18 - Le dernier refuge Répondre en citant

Une autre dans le petite poche de derrière ^^

Le dernier refuge


Playability:4.5
Je sais pas pourquoi mais j'ai bien aimé l'ambiance, on se dirait dans une région perdu, jamais vraiment touché de l'homme, c'est tranquille, très simple et j'ai aimé ça. Les assauts étaient un peu énervant, mais sans plus, le dernier m'a peut-être fait capoter, mais avec les renforts, une vraie farce ^^ Surtout pour la tranquilité de la map, elle respire le vrai.

Balance:3.5
Ni facile, ni très difficile, c'est quelques part entre moyen et difficile. Un essaie, ce qui est pas mal, les pièges sont effectivement la seule façon de remporté la victoire, les daim font chier car ils se réfugient dans une petite enclaves entre deux plateaux, faisant en sorte que les chasseurs rebroussent chemin, l'avantage, une fois le grenier déplacé et les post de chasse foutu directement dans ce petit ilôt de paix, les daims reviennent à l'infini (dès qu'il y en a plus, la map régénèrent 4/5 daim). La réduction des renforts finales donneraient un meilleurs challenge, les arbalétriers ennemis s'étant fait tuer en questions de quelques secondes, puis les hallebardiers, avant que les chevaliers décident d'agir ^^. Une seule catapulte fit mal en rendant caduque 20 ou 30 piège en bois.

Design:4.5
La map respire la naturel, elle très sympathique à jouer et j'ai adoré l,effet que ça donnait, comme dit, d'une région reculé et abandonné. C'est un peu une meilleure version de la première, en enlevant les troupe de l'équation, bien entendu. Beau travail Wink

Creativity:3.5
Pas mal tout de même, le scénario aide encore, la map en soit est originale, mais à part ça, les pièges en bois sont déjà un concept utilisé dans cet acte, résisté sur une colline contre des forces immenses, typiques, bref, un entre deux.

Scénario:4.5

Overall:4.5
Je ne sais pas si je peux vraiment mettre 4.5, mais il y a un souci de travail là dedans excellent, de plus le scénario fait changement de la trame principale, en approfondissant un peu sur le personnage qui se veut principale. La créativité est disons moisn importante dans la note globale, il est dure d'inventer sans cesse de nouveau concept... Pour al difficulté, je suppose que ca dépend de joueur en joueur, donc ça pondère moins que le design, le scénario et même de l'appréciation personnel, dans mon opinion.

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MessagePosté le: 2009-09-07, 21:28    Sujet du message: Chapitre 18 - Le dernier refuge Répondre en citant

Merci d'avoir pris le temps de jouer à cette map et de la commenter !

Au sujet de ton commentaire, quelques petites remarques. Dans la Bêta-test, l'ultime assaut avait balayé mes forces, les renforts étant arrivés trop tard. Voilà pourquoi j'ai essayé de simplifier ceci en raccourcissant le délai entre l'ultime armée et les renforts. J'avais également constaté la simplicité de la map dans la Bêta-test, ce qui m'avait contraint à rajouter quelques assauts supplémentaires. Je pense toutefois que la partie reste encore trop facile, mais je ne pense pas, au vu de la note reçue, que je ferais une modification... Sur l'aspect général de la map et tout ça, comme je l'ai dit, je me suis inspiré d'une map qui existait déjà. A l'origine, je ne devais pas faire cette mission, mais, à l'origine, l'Hilvanie devait perdre la guerre... Je suis toutefois heureux de voir que cette aventure t'a bien plu Very Happy

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